AngeL
La St-Valentin passés je peux écrire cela sans complexe ni complaisance;
J'aime cette femme couchée non loin de moi, qui respire pour deux. Son ventre bombé, secoué de soubresauts lui dessine des lignes rondes et sensuelles. Nous surfons sur cette vague (d')existence recomposée et sans ombrage.
Qu'il est bon de vivre... ENFIN!
La voix de l'Amour
Il est de ces voix qui réveille des souvenirs, qui cimentent des vies, celle de Cali en fait partie.
Une note et nous vibrons...
Et quand le texte colle à la réalité des faits c'est encore plus troublant.
Moriarty
Découvert il y a quelques semaines...
Moriarty - video "Jimmy"
Et pour en entendre d'avantage...
http://profile.myspace.com/index.cfm?fuseaction=user.viewProfile&friendID=56877030
Retour de vacances...
Me revoilà revenu d'entre figues de barbarie, vin bio, plantes sauvage, air iodé...
En attendant de vider mes bagages jetez une oreille à Shawn Grady .
A l'écoute en ce moment...
RED HOT CHILI PEPPERS - album STADIUM ARCADIUM - titre HUMP de BUMP
tattoos
Le buzz du dermographe qui pique et transperce l'épiderme ne m'est pas inconnu.
Le tatouage
appréhendé de diverses manières, comme une mutilation pour certains, une
quête esthétique ou un rite initiatique pour d'autre, permet de se distinguer de l'autre de façon radicale.
La douleur (toute relative) fait partie intégrante de l'acte et dans
une société de confort telle que nous la connaissons, permet à certains
(dont je suis), à une moindre échelle de revivre un acte primaire, se
mesurer à soi même et passer un cap, (je parlais de rite initiatique
plus haut).
Mais il y a, restons honnête, dans cette démarche une forme de narcissisme ostentatoire (toute proportion gardée).
Aussi loin que je m'en souvienne j'ai été attiré par cet art (puisqu'il
s'agit bel et bien d'art aujourd'hui bien loin des marins et
prisonniers à l'encre bleue). A l'âge
où l'on apprend à lire je me dessinais des ancres, des crucifix et
poignards sur les bras au grand damne de mes parents et l'âge
aidant au mien également!
Plus tard, j'ai usé les pages de magazines traitant du sujet, appréciant certains styles en dénigrant d'autres.
Plus tard encore je passais à l'acte. Mon premier tatouage, un gecko
entouré de trois fleurs polynésiennes en couleur aura été encré à l'aube de mes 31 ans. Ensuite le
prénom de mes enfants sur l'intérieur de mes poignets et plus près de
nous un motif polynésien en noir sur le bras droit.
Et demain, y en aura-t-il d'autres?
Je blogue, tu blogues... ils bloguent
Bien loin d'être mon premier coup d'essai, ce blog au nom ne laissant planer nul doute, sera fomenté, engraissé, nourri au fil du temps qui me sera possible de lui consacrer. Ici, tant bien que mal je laisserai l'ennui au vestiaire et traiterai, émaillé de vos commentaires, ce qui m'influence, me touche et m'horripile avec autant de subtilité et d'esprit que possible.
Rendez-vous un peu plus tard pour un premier Post...